Voyage et débauche sexuelle d'une soumise

Catégories : Libertins Femmes soumises sexuelles
il y a 8 ans

Voilà trois jours que nous sommes arrivés à l’hôtel et je sens bien qu’il lui manque quelque chose. Je sais qu’elle ne veut pas me le dire ouvertement, qu’elle s’attendait à un séjour différent quand je lui ai montré la semaine en pension complète dans un hôtel 4 étoiles de Cancun. Voilà trois jours qu’on fait l’amour intensément, comme on a l’habitude de le faire. Est-ce qu’elle remarque que je l’observe et que j’ai très bien compris de quoi elle a envie. Je ne pense pas. Elle se languit de plus en plus et s’impatiente rapidement quand je m’éclipse un peu trop longtemps lors de sa séance de bain de soleil sur la plage. Depuis ces trois derniers jours, j’ai réussi à trouver des excuses crédibles pour les moments où je m’absentais mais il faut que je me dépêche de lui apporter ce dont elle a envie.

Comme à son habitude, le soleil, la plage et l’esprit des vacances la rendent irrésistible et incroyablement excitante. Certainement aussi parce qu’elle est elle-même très excitée. Et incontrôlable une fois qu’elle a bu son premier cocktail au bord de l’eau, ce qui nous fait retourner rapidement dans notre chambre pour que je puisse la dominer tranquillement. J’ai pu emmener avec moi une paire de menotte, fort heureusement la douane n’a pas fouillé nos bagages. J’ai trouvé un long tissu pour pouvoir la bâillonner et l’attacher au lit. Je sais qu’elle adore ça. Elle aime que je m’occupe d’elle et que je l’empêche de crier pour que les gens de l’hôtel ne puissent pas entendre à quel point elle est soumise. Et depuis trois jours, elle ne demande que ça… être soumise.

Le troisième jour, je la vois se demander ce qu’on va faire de plus. Nous sommes restés à proximité de l’hôtel et avons surtout profité de la plage et des plaisirs de la nuit que peut nous offrir Cancun. Ville de la fête au Mexique. En arrivant au restaurant pour manger, un peu avant d’aller danser, je luis dis que ce soir elle aura une petite surprise.

Rapidement je regrette de lui avoir dit si tôt puisqu’elle n’arrête pas de questionner pour savoir ce que ça peut être ! Comme à mon habitude je lui répète que le principe d’une surprise c’est justement de ne pas savoir ce qu’il nous attend. Une fois notre repas terminé et la bouteille de vin complètement vide, nous nous dirigeons vers la boîte de nuit située juste en face. A ce moment, ma surprise commence à se mettre en marche. La personne que j’ai contactée est bien présente et nous regarde arriver. Je regarde ma femme marcher, serrée contre moi, l’a l c o o l commence à faire effet. Je sens l’envie de danser avec elle monter et j’ai envie de la sentir contre moi. Sentir son parfum passer comme une vague quand je la fais tourner devant moi.

Nous voilà partis sur le dancefloor, emportés par les rythmes cubains et des salsas endiablées. Le jeu commence à se faire de plus en plus intense. Ses mouvements me laissent entrevoir son envie. Ses mains glissent sur mon torse pour aller effleurer mon pantalon. Elle remarque alors que j’ai moi aussi très envie de la prendre mais je résiste pour continuer à faire monter cette tension. Après plus d’une heure à danser ensemble, nous allons prendre un autre cocktail et nous asseyons dans un coin plus isolé.

Tout se passe comme je l’avais prévu. Nous nous embrassons sur une banquette très confortable à l’abri des regards. Au bout de 5min, une jeune mexicaine vient me voir pour me parler, celle-ci est un peu tactile et me fait une bise chaleureuse et reste assez proche pour discuter. Je vois le regard de ma femme emplit de jalousie et d’énervement d’être interrompu pendant un si bon moment. Elle regarde plus attentivement l’hispanique qui attire toute mon attention, celle-ci lui tourne le dos. Je lui demande en chuchotant subrepticement à son oreille si elle s’est habillée comme je lui avais demandé. Sa seule réponse sera un clin d’œil et un sourire rapide. Je vois ma soumise se lever rapidement, elle vient de remarquer que cette femme ne porte pas de sous-vêtement sous sa jupe bien trop courte. Elle m’attr a p e par le bras et me demande ce que tout ça signifie, d’un ton agacé et empreint d’inquiétude. Je me défais de son étreinte, la serre contre moi et en profite pour passer ma main sur ses petites fesses et je lui murmure dans l’oreille : « Ceci mon amour, c’est ta surprise ! »

Elle me regarde étonnée et ne comprend pas tous de suite. Pour l’aider je demande à notre invitée de se pencher. Elle tend ses jambes et pose sa tête sur la banquette où nous nous embrassions juste avant. Nous avons maintenant une belle vue sur ces lèvres et son petit cul. Je passe ma main entre ses cuisses et la remonte pour pouvoir soulever sa jupe. Je lui demande de regarder de plus prêt. Elle se rapproche et peut maintenant lire ce que je lui avais ordonné d’écrire un peu plus tôt dans la journée : SLAVE sur ces petite fesses. Je vois sa main se poser sur ses fesses, mon esclave a compris ce qu’était sa surprise. Elle se retourne, m’attr a p e le sexe et me dit : « Allons-nous occuper d’elle mon Maître, je suis toute mouillée ! »

Elle attrape notre nouvelle soumise par un bras et la plaque contre elle pour pouvoir sentir ses lèvres et caresser se petit cul qu’on ne va pas tarder à m a l t r a i t e r. Je vois que j’ai bien choisi notre nouvelle soumise pour ces vacances. Elle se laisse faire et ne dit rien quand ma femme passe sa main sur sa chatte pour voir si elle est bien mouillée. Visiblement elles sont toutes les deux parfaitement excitées car elles commençaient à se diriger vers la banquette. J’ai dû les retenir et leur ordonner de rentrer dans notre chambre d’hôtel.

Mais juste avant, je commence à leur montrer ce qui les attend et je sors deux petits plugs que j’avais glissés dans ma veste. Je les regarde, elles devinent ce que j’ai sorti de ma poche. Comme deux soumises bien éduquées, elles se retournent et me présentent leurs petits culs. Elles sont prêtes à se faire m a l t r a i t e r. Je vérifie que personne ne nous voit et remonte la robe de ma soumise et lui enfonce directement à fond dans son cul. Elle pousse un cri de plaisir mêlé de douleur, mais je sais que son derrière est habitué à se faire dominer.

Je fais de même avec notre nouvelle soumise et je vois qu’elle crie de douleur également. Heureusement la musique couvre complètement ses plaintes. Elle manque d’entraînement. Je l’attr a p e par les cheveux et lui rappelle :

_ It’s just the begining !!

Je les attrape et les pousse devant moi pour les regarder marcher, les fesses serrées et encore endolories. Personne ne nous remarque partir et nous nous dirigeons rapidement vers notre hôtel.

Une fois dans notre chambre, je les plaque contre le mur de l’entrée, retire rapidement leurs petits gods, accompagné de petits cris de douleur. J’embrasse ma femme et je lui explique qu’elle a le droit de s’entraîner un peu à la dominer, pendant que je l’observe. Elle m’embrasse en retour pour me remercier et se dépêche d’aller commencer à m a l t r a i t e r cette inconnue qui est notre esclave pour la nuit. Elle la f o r c e à se mettre à genoux et place sa tête entre ses jambes pour sentir sa langue de soumise lui donner du plaisir. Je m’installe dans un coin de la chambre et je commence à me masturber, regarder la femme que j’aime apprendre à dominer une inconnue. Et je réfléchis tranquillement à la manière dont je vais les soumettre cette nuit. La main de ma soumise s’abat sur la joue bronzée de notre mexicaine. L’avantage c’est qu’on ne verra pas les marques demain.

La nuit débute à peine. Mais notre soumise crie déjà et laisse entrevoir un regard hésitant. Il est trop tard pour faire demi-tour et ma femme va bien s’occuper d’elle.

Je ne me lasserai jamais d’observer ma femme. Ses courbes captent mon regard et me font rêver. Elles me donnent envie de me jeter sur le lit, de la tenir contre moi et laisser glisser mes mains sur ses hanches. Mais je dois résister. Je dois continuer à être spectateur de son plaisir, de son envie de domination sur cette petite mexicaine. Elle aime répéter les supplices que je lui inflige quand elle se donne à moi et que sa seule envie est d’être maîtrisée. Ses gestes s’intensifient tout comme les cris de notre soumise. Cette soumise qui se donne à deux européens et qui en redemande. Qui veut sentir notre pouvoir et notre domination la rabaisser et l’humilier toute la nuit.

Les mains de ma soumise retiennent notre esclave d’un soir par les cheveux pour maintenir sa tête entre ses jambes. Elle n’a pas besoin de dire ce qu’elle veut… Seule sa langue peut encore bouger et remue le long de son clitoris. Ma femme est debout sur elle. Notre soumise à genoux, bloquée entre ses jambes cherche de temps en temps à se débattre. Quand elle manque d’air, à f o r c e d’avoir sa tête trempée de mouille enfoncée dans son sexe. Ma femme aime la voir se débattre. Elle a envie de la pousser dans ses retranchements et maintient sa tête jusqu’à ce qu’elle jouisse. Notre petite soumise commence à goûter à l’humiliation. Son visage est luisant, son maquillage a coulé sur ses joues et elle est imprégnée de l’odeur de soumise de ma femme. Une odeur réclamant du sexe.

Après avoir jouit au-dessus de notre petite latino, ma femme la pousse sur le lit et lui ordonne de se mettre à quatre pattes. Elle veut commencer à la préparer pour nous. Notre soumise s’exécute. Ses fesses, encore bien serrées, dirigées vers moi. Le « SLAVE » marqué d’un trait maladroit renf o r c e mon excitation, je suis de plus en plus dur. L’humiliation continue pour notre soumise. Ma femme prend les morceaux de tissus qui la maintenaient la veille et attache par les pieds notre soumise aux barreaux du lit. Ses cuisses s’écartent un peu révélant ses petites lèvres épilées. Elle prend ses bras pour les mettre dans son dos et prend son temps pour la menotter. Entrecoupant se plaisir par des petites fessées, sa main claquant sur ses fesses fermes et bronzées. Notre soumise est complètement retenue. Ses derniers mouvements possibles se limitent à pouvoir écarter plus ou moins ses cuisses. Ça lui sera utile lorsque je viendrais pour lui éclater son petit cul.

Ma femme me regarde et je comprends qu’elle a envie de continuer à m’exciter. Je lui fais signe qu’elle peut encore profiter tranquillement de notre soumise. Je vais essayer de contenir mon désir de me jeter sur ce petit cul encore serré et d’y faire pénétrer mon sexe. Les mains blanches de ma soumise, glissant sur la peau couleur café de sa surprise offrent un contraste très excitant. J’observe ses doigts disparaître, d’abord dans sa chatte bien humide puis dans son petit cul encore tout sec. Ma soumise les lèche à peine sorti de son derrière pour profiter de la saveur de l’anus d’une mexicaine. Elle recommence à insérer son index pour continuer à lubrifier ce petit cul qui ne va pas tarder à être franchement maltraité. Elle y enfonce ensuite un deuxième doigt puis un troisième. Les cris de notre petite esclave s’intensifiant au fur et à mesure que son orifice se dilate.

Mais ma femme s’en moque et continue de jouer avec ce petit cul qui la fait mouiller. A chaque fois qu’elle ressort ses doigts, elle s’empresse de les nettoyer avec sa langue. Tourné vers moi, ses yeux me regardant avec un air empreint de soumission. Un air de petite chienne qui aime lécher le cul d’une autre soumise. Ce qu’elle fait juste après que sa langue est parcourue chaque recoin de ses doigts parfumés.

Voilà que ma femme se place derrière notre soumise et expose maintenant ses petites fesses vers moi. Sa tête placée dans la raie de notre mexicaine. Sa langue faisant des va et vient entre ses lèvres et son anus. Elle ne me voit plus mais elle sait que je ne vais pas tarder à me lever pour m’occuper d’elle. Que je suis trop excité pour pouvoir tenir plus longtemps. Elle sait aussi que j’ai envie d’éclater ces deux petits culs qui s’offrent à moi. Je me masturbe depuis qu’elle a commencée à la dominer et je sens que je vais devoir trouver rapidement dans quel trou j’ai envie d’éjaculer. Je me lève, me place à côté de mes deux soumises. A partir de cet instant, ma femme n’a plus aucun pouvoir de domination et va être autant humiliée que notre mexicaine. Je maintiens sa tête dans les fesses de sa soumise. Appuyant pour que sa langue s’enfonce profondément dans son cul.

Qu’elle puisse goûter à cette saveur qu’elle aime tant. Appuyant aussi pour que sa respiration se fasse plus difficile et qu’elle cherche au bout d’un moment à se débattre. J’aurais ainsi une excuse pour pouvoir commencer à la fesser. Et voilà, moins de quinze secondes après avoir été maintenue dans cette atmosphère humide, ma femme se débat pour trouver de l’air respirable. Je la tire par les cheveux, la gifle à plusieurs reprises et lui replace la tête au même endroit. Je commence mes fessées, alternant entre les petites fesses bronzées et les petites fesses blanches. Ma femme rougit plus rapidement, la marque de ma main s’imprègne toujours aussi vite. Je sais que demain matin elle me répètera encore qu’elle a mal quand elle s’assoit. Mais comme à chaque fois où elle est soumise, elle n’attend qu’une chose, c’est que mes mains claquent sur son derrière ou s’abattent sur ses petites joues. Je sens que je vais bientôt éjaculer.

Je sais que j’ai envie de commencer avec le petit cul bien préparé de notre esclave. Je tire ma soumise pour avoir la place d’enfoncer mon sexe dans ce petit cul. Je retiens la tête de ma femme pour qu’elle lèche mon cul et mes boules gonflées à fond. Je tiens ses mains et les place sur les fesses bronzées pour qu’elle écarte son anus. Je rentre doucement. Sans m’arrêter, une main s’appuyant sur son dos, l’autre retenant ma soumise entre mes fesses. Sa langue remue et fait monter mon plaisir d’un coup. Mon envie de jouir arrivant très vite.

Mes va et vient s’accélèrent dans son petit cul, enfonçant mon sexe à fond pour la faire crier. Je relâche ma soumise, attr a p e mon esclave par les cheveux pour les tirer en même temps que je la défonce. Je la fini pendant plusieurs minutes. Je rentre dans son cul comme dans une chatte bien humide. Je sais qu’elle a mal mais j’ai envie d’y jouir bien au fond. Je sens mes couilles effleurer la langue de ma femme qui s’est placée entre mes jambes. Je tape à plusieurs reprises bien au fond, ses cris étouffés par les draps. Ma main appuyant sur sa tête pour que je garde l’équilibre. Je sors à chaque fois mon sexe quasiment en entier et son anus est chaque fois un peu plus large quand je rentre à nouveau. Je jouis dans son petit cul et me retire d’un coup dès que j’ai fini. Dernière douleur pour elle pour le moment.

Je me retourne pour nettoyer mon sexe dans la bouche de ma petite femme qui n’attend que ça. Elle le dévore et le lèche de tous les côtés avec avidité. Une fois que mon sexe est propre, je tire notre esclave par les cheveux pour qu’elle se tienne sur ses genoux. Je tire aussi ma femme par les cheveux pour la placer sous son petit cul, lui ordonnant d’ouvrir la bouche et d’attendre que mon sperme coule dedans. Mes mains agrippent ses petites fesses endolories pour écarter et mettre en évidence son anus complètement défoncé. Elle continue à gémir de douleur et ses mains menottées cherchent à pouvoir caresser son derrière pour apaiser sa douleur.

Mon sperme sort doucement de son trou, coulant un peu sur ses lèvres avant de tomber en grosses gouttes dans la bouche de ma soumise. Il faut plusieurs minutes pour que tout s’écoule. Une fois que sa bouche est bien remplie, j’ordonne à notre mexicaine de s’asseoir sur elle pour qu’elle continue de nettoyer l’intérieur avec sa langue. Ma soumise s’exécute et récupère dans sa bouche chaque goutte de mon sperme. Une fois fini, je la regarde et lui ordonne de tout avaler d’un coup. Ce qu’elle fait avec plaisir.

La nuit ne fait que commencer et j’ai deux petites chiennes qui veulent encore être humiliée. Je les laisse me sucer la bite et me lécher les couilles pour me faire de nouveau bander.

Ma soumise et notre esclave d’un soir n’ont aucun mal à m’exciter de nouveau. Leurs lèvres parcours mon corps et font frissonner chacun de mes muscles. Je ferme les yeux et les laisse s’occuper de moi. Leur laisser suivre leur imagination et voir jusqu’où elles vont. Je pars dans mes fantasmes, sentant mon sexe se durcir doucement lorsqu’une langue descend le long de mon anus et qu’une main sensuelle me masturbe doucement. Il est bientôt trois heures du matin. La deuxième surprise doit commencer d’ici peu mais je repousse le temps où je devrais me lever et me priver de se plaisir infini.

Je me redresse et passe ma main dans les cheveux de ma femme, la ramène doucement vers moi pour pouvoir l’embrasser. Je sens le goût de mon sexe, sa langue est parfumée par mon excitation, mon envie de les dominer. Elle m’embrasse tendrement, sa main toujours occupée à faire des va et vient sur mon pénis. Je la serre contre moi, embrasse ses seins galbés, ses deux merveilles qui la rendent encore plus irrésistible. Ses tétons sont déjà bien dur, je les mordille doucement jusqu’à la faire gémir d’un son à peine audible. Mes dents qui font pressions sur ses mamelons bien sensibles lui procurent un plaisir quasi instantané et sa chatte ne tarde pas à humidifier ma cuisse sur laquelle elle se déhanche. Je remonte ma langue dans son cou et la tient contre moi. Je lui susurre le programme que j’ai prévu à l’oreille.

_Il est temps que je m’occupe de toi. Je t’ai prévu une surprise juste pour toi, tu ne seras pas déçue !

_ Que veux-tu me faire mon Maître ?

_ Sois patiente, tu le sauras bien assez tôt ! Mais pour que ta

surprise commence, j’ai besoin que tu attaches notre esclave au pied du lit. Utilise la laisse qui est sur la table de nuit.

Elle s’exécute. Notre esclave n’a rien comprit et est un peu surprise quand ma femme l’attr a p e sans ménagement pour lui passer la laisse autour du cou. Elle la tire du lit. Celle-ci suit difficilement à quatre pattes pour ne pas tomber. Je lui ai demandé de l’attaché aux pieds du lit mais ma petite soumise aime avoir une chienne à ses pieds. Elle lui fait faire un tour de la chambre pour la regarder et lui ordonne de faire la belle. Je lui ordonne de s’arrêter et de se dépêcher de l’attacher quand je la vois lui prendre la tête pour se faire laper le minou. Même si ce spectacle me plait beaucoup, ce n’est pas ce qui est prévu. Une fois attaché, j’attr a p e ma soumise et la f o r c e à se mettre à quatre pattes au milieu de la pièce, juste à côté de notre soumise attachée. Ses fesses sont exposées, bien orientées vers la porte qui mène sur le couloir de l’hôtel. J’attr a p e un bandeau que j’avais préalablement attaché à un des montants du lit. Je lui bande les yeux. Je sais qu’elle a toujours un peu plus d’appréhension quand elle ne voit plus rien. Ce sera la première fois qu’elle ne pourra pas observer ce qui se passe avec une troisième personne, qui plus est, est attachée à côté d’elle. Mais ce ne sera pas le plus dur à supporter pour elle.

_ I think it’s time to begin the second part of the night!

Je la regarde bouger doucement. Je sens sa peur monter en elle. Elle a peur de l’inconnu et cet inconnu va l’exciter très vite. A peine ai-je fini de parler que la porte de notre salle de bain s’ouvre.

_ I saw you’ve taken care of my little submissive. So, did you like her small tight ass?

_ Of course. But her ass is not so tight anymore!

_ So now, we have another submissive to a b u s e …

Ma femme se trémousse, ne savant pas comment réagir. Elle a compris ce qui se passait à l’instant où la porte c’est ouverte alors que j’étais encore à côté d’elle. Notre invité a pu profiter du spectacle, caché derrière la porte de notre salle de bain. Il est déjà très excité et je sais qu’il va m a l t r a i t e r ma petite soumise tout comme j’ai maltraité la sienne. Les yeux toujours bandés, nous nous plaçons autour d’elle, passant nos mains sur son corps frissonnant. Je sens qu’elle résiste pour ne pas enlever son bandeau et se rebeller contre moi. Mais elle sait ce qu’il se passera si elle me déçoit, surtout devant mon invité. Je lui parle doucement à l’oreille :

_Ne t’inquiète pas, on va bien s’occuper de toi ! Prépare toi à jouir comme jamais !

Rien qu’à ces mots, elle commence à gémir ; les sons qu’elle produit traduisent la peur et l’excitation qu’elle cherche à cacher depuis qu’elle se sent comme une petite poupée exposée à la vue de tout le monde.

Je l’attr a p e par les cheveux pour qu’elle se redresse sur ses genoux et ses mains cherchent nos sexes pour pouvoir commencer à nous pomper. Elle attr a p e le sien en premier. Je l’observe le toucher longuement, cherchant à savoir si c’est de mon sexe qu’il s’agit. Par chance et par pur hasard, nous avons le même calibre ce qui augmentera encore plus son impression d’inconnu. Sa langue parcourt son sexe alors que son autre main commence à peine à remonter le long de mes jambes. Elle caresse mon pénis d’un geste rapide. Elle est stressée et excitée par ce qui l’attend. Semble confuse. Comment réagir dans une telle situation ? Elle s’est contenue et a respecté les désirs de son Maître. La pire des réactions aurait-été qu’elle me contredise et qu’elle se refuse à cet inconnu. Mais je l’ai bien éduqué et je devine ses envies les plus inavouables.

Après un bon quart d’heure à nous sucer avec engouement, enfonçant nos sexes dans sa bouche grande ouverte, alternant rapidement, elle n’est plus capable d’identifier à qui appartient le gland qui arrive au fond de sa gorge. Je suis son Maître, je sais qu’elle va se sentir très humiliée mais je commence à la gifler pendant que mon invité s’occupe de lui préparer son petit cul avec la langue.

Tout en prenant du plaisir à y enfoncer ses doigts, un, deux puis trois. Il les rentre énergiquement, la faisant crier. Je lui maintiens sa tête entre mes jambes, ma bite pénétrant profondément sa bouche pour étouffer ses cris. D’un clin d’œil, j’autorise mon invité à commencer à fesser ma petite soumise, qui maintenant est aussi sa soumise. Elle crie de plaisir quand sa main s’abat vigoureusement sur sa croupe bien exposée. Il a bien vu que je n’ai pas ménagé sa soumise juste avant, entre ses cris de douleurs et ses fesses rougies. Je vois qu’il a prévu de faire de même avec la mienne. En moins de dix fessées, je regarde la peau lisse de ma femme se colorer de plus en plus jusqu’à devenir complètement rouge à la dixième. Je perçois sa douleur au mouvement vers l’avant qu’elle fait et qui la font s’empaler un peu plus dans mon pieu. Une fois que je desserre mon étreinte, elle laisse s’échapper une quinte de toux, la salive coulant allègrement sur ses seins durcis par le désir de soumission. Son maquillage a coulé sur ses yeux. Trahissant les quelques larmes qu’elle a versé. Peut-être à cause de mon sexe s’enfonçant dans sa bouche ou à cause de la douleur parcourant son petit cul.

Maintenant qu’elle est bien préparée et que nous sommes tous les deux bien excités, nous commençons à entrer dans le vif du sujet. Mon invité s’allonge sur le sol, son sexe en érection n’attendant que la chatte de ma soumise. J’attr a p e ma soumise pour qu’elle se tienne debout et la place au-dessus de son sexe. « Maintenant mets-toi à genoux et fais en sorte que son sexe rentre à fond. Elle s’exécute et laisse échapper quelque cris de plaisir lorsqu’elle ressent ce sexe inconnu effleurer son clitoris brûlant, puis quand elle le fait rentrer dans sa chatte complètement trempée. La voilà maintenant bien installée, ses mains reposant sur le torse de mon invité, ses seins reposant sur son visage. Elle commence déjà les va et viens, pour ressentir ce sexe taper au fond de sa petite chatte. Je dois la retenir par les cheveux et lui mettre quelques gifles pour la f o r c e r à s’arrêter. Elle doit attendre encore un peu. Ce n’est toujours pas ce qui est prévu !!

_ Maintenant mon amour, je t’ai réservé les meilleurs orgasmes que tu n’as jamais eus. Il est temps pour toi de te faire prendre ta chatte et ton cul en même temps. Et il est temps de te soumettre complètement parce que tu ne pourras aller nulle part.

Mon invité place sa main sur sa bouche pour couvrir les cris qui vont bientôt arriver. Je lui attr a p e les mains et la menotte dans le dos. Je suce mon index et mon majeur que j’insère rapidement dans son anus. Il a déjà bien été préparé. Je les ressors et me place derrière elle. Une main l’agrippant par les cheveux et l’autre guidant mon sexe à l’intérieur de son derrière déjà endolori. Malgré sa main fermement appuyée sur sa bouche, on peut entendre ses cris étouffés. Dus à la douleur de son anus qui s’agrandie mêlée au plaisir de se faire défoncer des deux côtés en même temps.

_Voilà la surprise finale. Ta première double pénétration ! Voilà comment je vois les choses. Tu es déjà parfaitement excitée et prête à jouir. Tu nous as bien excitée jusqu’à maintenant mais on a encore besoin de temps pour éjaculer. Peut-être cinq minutes, peut-être dix ou peut-être plus ? Mais ce qui est sûr, c’est que ce temps on va le passer à te défoncer. Tu ne peux pas crier. Tu ne peux pas te débattre. Maintenant abandonne toi et jouis !!

Et nous commençons nos va et viens. Au début doucement, le temps de trouver la bonne position. Surtout pour mon invité qui doit arriver à bouger avec nos deux corps au-dessus de lui. Il arrive à faire ressortir un peu plus sa bite et la fait rentrer rapidement pour quelle tape bien au fond. Je la sens quand elle rentre, appuyé sur la même paroi où j’appuie. Ça doit lui procurer du plaisir, moi ça m’en procure beaucoup en tout cas. Je prends le même rythme que lui et nos sexes se reculent jusqu’à presque laisser apparaître nos glands et s’enfoncent en même temps, nos boules contractées quasiment en contact.

Et on accélère petit à petit, usant de nos muscles pour a b u s e r de ces trous qui s’offrent à nous. Voilà maintenant bien cinq minutes qu’on profite d’elle et elle crie sans discontinuer. Fort heureusement, la main de mon invité y est toujours fermement appliquée. Je pense qu’elle est en train de jouir. Elle jouit sans discontinuer car elle cherche à se débattre juste avec la tête. Mais on ne s’arrête pas. Au contraire, on intensifie le rythme. Je sors mon sexe en entier pour le faire rentrer de nouveau d’un seul coup. J’en profite pour la fesser bien fort et m a l t r a i t e r un peu plus ce derrière. Lui, mordille ses tétons, pince ses seins avec sa main libre. Cette fois, nous sommes bientôt tous les deux au bord de l’orgasme. J’indique à mon invité de resserrer sa main sur son cou. Pour que sa respiration soit un peu plus difficile. Voilà, maintenant elle est complètement à nous. Peut-être que je me trompe et qu’elle a envie de se libérer. Peut-être qu’elle se sent trop humiliée et que la première chose qu’elle fera sera de partir et me laisser seul. Mais je continue.

Nous la défonçons d’un rythme impossible, chacun prêt à éjaculer en elle. Il resserre son étreinte autour de son cou. Je claque ses fesses et tire ses cheveux de plus en plus fort. On éjacule en même temps en elle pour un final d’une infinie intensité.

On se retire d’elle et je la place allongée par terre. Encore menottée. Les yeux toujours bandés. Son inconnu se retire, prend ses vêtements dans la salle de bain, libère sa soumise et s’en va. Elle est encore nue quand elle traverse le couloir.

Je vais m’occuper de ma femme. Fier et heureux de ce que je lui ai faits endurer. Nos semences coulent entre ses jambes. Je la libère, enlève son bandeau. Elle est toujours en train de gémir. Ses mains caressent ses fesses pour apaiser la douleur.

Elle regarde la pièce vide. Elle ne saura pas qui était l’inconnu. Elle me remercie pour ses orgasmes. Pour l’intensité de ce moment où elle s’est complètement abandonnée à nous.

On se douche, longtemps. Je la serre contre moi et l’embrasse. La remerciant d’être si parfaite. Elle s’écroule dans mes bras à peine sortie de la douche.

Trois jours après, nous repartons pour l’aéroport. De retour pour Lyon. La fin de la semaine a été très tranquille. Elle a eu besoin de temps pour récupérer. Son corps a été marqué quelque temps de cette nuit de folies. Nous croisons un ami que j’ai rencontré avant de prendre l’avion. Un mexicain qui travaille pour une boîte française. Il réserve une place prêt de nous. Je le regarde, un sourire un coin… Ma femme me dit rapidement qu’il est vraiment charmant. Elle ne se doute pas qu’elle va passer les quinze prochaines heures deux sièges à côté de l’inconnu qui l’a dominé il y a trois jours.

Elle ne le saura jamais…

jemaessu

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